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Ici, vue rapprochée de la même partie, avec un zoom particulier sur ce que j'appellerais les 'écoutilles', petits volets de métal (à récurer au Sidol) renvoyant aux barrettes précédemment évoquées.
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Photo un peu énigmatique, je l'admets. Il s'agit en fait du corps supérieur de l'instrument, corps 'détachable' si je puis dire. En-dessous des tirants de registres, on trouve donc le clavier, puis le sous-clavier. Ce que vous voyez est le 'socle' qui comprend les anches dessous, le clavier et le sous-clavier. Ici, le clavier est présenté sans les touches.
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Une vue du dessous de l'étage des tirants : en actionnant les titants, un coude de métal appuie sur une fine barrette, renvoyant elle-même à une seconde barette qui régit l'ouverture et la fermeture des valves contôlant à la fois la puissance de l'air transmise, mais aussi les jeux d'anches correspondant aux différents 'instruments' ou effets.
C'est quand même très bien fait !
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Commençons à démonter le clavier : avec la partie du meuble consacrée aux tirants de registres. Ceux-ci sont coincés; il faudra donc les dégripper. En enlevant pour cela la partie arrière de l'étage, en regraissant (graisse blanche) les bois et les métaux, etc.
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Pour commencer, un petit exercice sympathique mais ô combien laborieux : le nettoyage des touches (leur partie supérieure en tous cas). Dépoussiérage, recollage des bois fendus, et surtout, séchage à l'air libre obligatoire !
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