• Tirants, la suiteUne vue du dessous de l'étage des tirants : en actionnant les titants, un coude de métal appuie sur une fine barrette, renvoyant elle-même à une seconde barette qui régit l'ouverture et la fermeture des valves contôlant à la fois la puissance de l'air transmise, mais aussi les jeux d'anches correspondant aux différents 'instruments' ou effets.

    C'est quand même très bien fait !


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  • Tirants, à bout portantCommençons à démonter le clavier : avec la partie du meuble consacrée aux tirants de registres. Ceux-ci sont coincés; il faudra donc les dégripper. En enlevant pour cela la partie arrière de l'étage, en regraissant (graisse blanche) les bois et les métaux, etc.

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  • Première approchePour commencer, un petit exercice sympathique mais ô combien laborieux : le nettoyage des touches (leur partie supérieure en tous cas). Dépoussiérage, recollage des bois fendus, et surtout, séchage à l'air libre obligatoire !

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  • Etat des lieuxDécembre 2006 : Pour mon anniversaire, on m'a donc comblé. Voici qu'a été retrouvé l'harmonium de répétition de la chorale paroissiale, enfoui sous mille et un brols paroissiaux. Après avoir sorti de l'anonymat - et d'une manière assez satisfaisante - un charmant piano Everaerts de 200 kg et un Hanlet aux allures et dimensions plus humbles, je m'attaque donc à ce monstre sacré signé Debain, brevèteur chevronné, sinon l'inventeur même, de l'harmonium. Premier état des lieux : les pédales sont pourries, de même que le bas de la caisse du meuble. Le pédalier est décroché, de même qu'une partie des soufflets (la totalité pendant les travaux !). Le tout est très humide, rongé par les vers, ou raffistolé au scotch. Il y a des cultures de champignons dans les soufflets, le bois est fendu à de nombreux endroits. Il va y avoir du boulot ! Ci-contre une vue de l'arrière, après remise en place purement esthétique (et pas au bon endroit, en plus)du pédalier. Sans commentaires.

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